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21/02/2025
Banques publiques de développement : vers plus d’ambition climatique
La semaine prochaine, des représentants de banques publiques de développement et de leurs parties prenantes se retrouveront au Cap en Afrique du Sud pour la 5e édition du Sommet Finance en Commun (FiCS), pour discuter de l’alignement de toutes les activités des banques publiques de développement avec les Objectifs de développement durable, l’Accord de Paris et le Cadre mondial de la biodiversité. Rassemblant toutes les banques publiques de développement dans le monde, Finance en Commun représente environ 10% des investissements mondiaux de développement chaque année, qui doivent s’aligner avec des trajectoires de développement durable. Cette année, les discussions du FiCS auront lieu alors même que l’Afrique du Sud accueille la première réunion des ministres des finances et gouverneurs de banques centrales du G20, qui se concentrera cette année sur la solidarité, l’égalité et la durabilité.
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12/02/2025
Questions-réponses sur la tarification du carbone
Réponses aux questions fréquemment posées sur l’élaboration et la mise en œuvre des politiques de tarification du carbone. Ce travail vise à fournir un outil d’accompagnement soigneusement élaboré pour les juridictions qui envisagent ou développent un instrument de tarification du carbone, avec des questions et réponses (Q&R) axées sur les opportunités qu’ils peuvent apporter, les défis spécifiques, et les choix politiques relatifs à la conception et à la mise en œuvre de la taxation du carbone et des systèmes d’échange de quotas d’émission dans les pays émergents et les économies en développement (EMDEs).
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06/12/2024
Après Bakou, le défi du financement reste entier
La COP29 de Bakou devait donner un nouveau souffle à la coopération Nord-Sud à travers la négociation d’un nouvel objectif de financement, ou NCQG. À l’issue de négociations conflictuelles, elle livre un accord en demi-teinte, et la lourde tâche de mobiliser les ressources manquantes d’ici la prochaine COP. Le nouvel objectif (300 milliards de dollars d’ici 2035, contre 100 auparavant) représente, une fois l’inflation déduite, un ralentissement de la croissance des flux de financements par rapport à la tendance actuelle. Il est aussi sans commune mesure avec l’estimation des besoins – 1 300 milliards de dollars de financements externes, publics comme privés – qui a guidé les négociations.