Événements Certification carbone

Méthodes Mangroves et Ville arborée du Label Bas-Carbone

Webinaires - Par : Simon MARTEL

Retrouvez ci-dessous le replay du webinaire organisé par Le Ministère de la Transition énergétique et I4CE pour présenter les 2 nouvelles méthodes du label Bas Carbone approuvées fin 2023 : 

 

Valorisation du stockage de carbone associé à des activités de restauration de mangroves et de forêts dégradées, dans les Départements et Régions d’Outre-Mer (DROM).

Développée par Ecoact

 

Valorisation de la séquestration carbone et des co-bénéfices liés à l’augmentation du couvert arboré en milieu urbain, en France Métropolitaine.

Développée par la Société Forestière de la Caisse des Dépôts et Consignations

 

 

Cliquez ici pour voir les présentations des intervenants pendant l’événement

 

 

 

Le Label Bas Carbone est un outil de certification carbone national, piloté par le Ministère de la Transition énergétique. Il doit permettre de contribuer aux engagements climat de la France en participant au financement de projets positifs pour le climat. Avec 5 ans d’existence, le Label Bas-Carbone a permis la labellisation de plus de 800 projets.

 

Deux nouvelles méthodes ont été approuvées fin 2023, portant à 15 le nombre de méthodes permettant de déposer des projets.

 

Ce webinaire a permis de présenter les 2 nouvelles méthodes approuvées par le Ministère de la Transition énergétique. Les participants au webinaire ont pu découvrir comment mettre en place des projets relatifs à l’une de ces méthodes et pourront échanger avec les développeurs de ces méthodes.

 

Pour aller plus loin
  • 02/07/2024
    État des lieux des progrès de l’Union européenne vers la neutralité climat

    Évaluer l’état d’avancement des travaux pour éclairer les prochaines étapes de l’élaboration des politiques publiques européennes. L’Union européenne (UE) s’est engagée sur la voie de la neutralité climat d’ici à 2050. Ce projet multigénérationnel offre de nombreuses opportunités sociétales, économiques et environnementales. En même temps, il est d’une ampleur sans précédent et implique des changements considérables dans les systèmes actuels, qui doivent être anticipés et pris en compte pour que la transition soit équitable et acceptable pour tous. Un contrôle régulier des progrès accomplis est essentiel pour comprendre où en est l’UE dans son parcours. Il permet d’identifier les défis et les opportunités et de prendre des mesures politiques ciblées pour orienter les investissements, l’offre, la consommation et le développement sociétal. Il n’existe toujours pas de suivi officiel, complet et régulier des progrès à l’échelle de l’UE pour y parvenir.

  • 28/06/2024
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    Les institutions financières privées doivent recadrer leur approche sur la gestion des risques liés aux actifs échoués. L’approche actuelle, qui consiste à quantifier l’exposition au secteur des combustibles fossiles dans un cadre limité de portefeuilles financiers (principalement des prêts), sous-estime largement les pertes potentielles liées à l’échouage (lorsqu’un actif devient “échoué”, c’est-à-dire subit une dépréciation forte, inattendue). Étant donné que la transition vers une économie à faibles émissions de carbone a des répercussions sur tous les secteurs économiques, les institutions financières privées doivent prendre en compte les risques d’échouage liés à la transition dans leur cadre global de gestion des risques liés à la transition, en adoptant une approche « globale de l’économie ». Les approches traditionnelles de gestion des risques sont mal adaptées aux défis méthodologiques et de quantification des risques d’échouage liés à la transition, de sorte qu’une approche flexible, dynamique et prospective est nécessaire.

  • 28/06/2024
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    La transition vers une France décarbonée n’est pas un chemin facile, et requiert des ménages une implication et des investissements à court terme. Cela peut nourrir un rejet de ces politiques. Face à la difficulté, faut-il faire machine arrière ou chercher une voie de passage suscitant une plus large adhésion ? Pour Benoît Leguet d’[i4ce], c’est ce qui se joue dans la campagne pour les élections législatives, avec des partis qui font des propositions pour aider les classes moyennes et populaires à faire la transition, et d’autres qui sont tentés, en l’assumant ou non, de rejeter toute politique associée de près ou de loin au climat. Disons-le d’emblée : la deuxième voie est une impasse, dans laquelle les partis ne doivent pas s’engager.

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