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Financements Climat et Mobilité Durable

sncf

La SNCF (Société nationale des chemins de fer français), son homologue marocain l’ONCF (Office National des Chemins de Fer du Maroc), partenaire officiel de la COP22, I4CE (Institute for Climate Economics), l’UIC (Union Internationale des Chemins de Fer), l’UITP (Union Internationale des transports publics), l’IPEMED (Institut de Prospective économique du monde méditerranéen) et CODATU (Coopération pour le Développement et l’Amélioration des Transport Urbains et Périurbains) ont le plaisir de vous inviter à prendre part à :

la conférence  « Financements Climat et Mobilité Durable »,

le 12 novembre 2016 de 19h à 20h30

dans la Salle SEBOU de l’espace Conférence de la Zone Verte au village COP22 à Marrakech.

Cette conférence a pour objet de faciliter la compréhension mutuelle des enjeux climatiques de la mobilité et des nécessités de financement des programmes et projets de mobilité et transport durables, accessibles à tous, innovants, sobres en carbone et générateurs de développement pour les territoires desservis.

Nous aurons le plaisir d’accueillir les conférenciers suivants : M. Jérémy PELLET, DG adjoint de l’Agence Française de Développement, M. Stéphane VOLANT, Secrétaire général de la SNCF, M. Mohammed Rabie KHLIE, Directeur général de l’ONCF, Mr. Alain FLAUSCH, Directeur général de l’UITP et Mr. Pierre DUCRET, Président d’I4CE

Vous trouverez ci-dessous les 2 formulaires à compléter pour être accrédité(e) par l’organisation de la COP22 et inscrit(e) à la conférence :

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12 nov 2016

Financements Climat et Mobilité Durable

Pour aller plus loin
  • 02/07/2024
    État des lieux des progrès de l’Union européenne vers la neutralité climat

    Évaluer l’état d’avancement des travaux pour éclairer les prochaines étapes de l’élaboration des politiques publiques européennes. L’Union européenne (UE) s’est engagée sur la voie de la neutralité climat d’ici à 2050. Ce projet multigénérationnel offre de nombreuses opportunités sociétales, économiques et environnementales. En même temps, il est d’une ampleur sans précédent et implique des changements considérables dans les systèmes actuels, qui doivent être anticipés et pris en compte pour que la transition soit équitable et acceptable pour tous. Un contrôle régulier des progrès accomplis est essentiel pour comprendre où en est l’UE dans son parcours. Il permet d’identifier les défis et les opportunités et de prendre des mesures politiques ciblées pour orienter les investissements, l’offre, la consommation et le développement sociétal. Il n’existe toujours pas de suivi officiel, complet et régulier des progrès à l’échelle de l’UE pour y parvenir.

  • 28/06/2024
    Des actifs échoués aux actifs à risque : repenser l’approche des institutions financières privées européennes

    Les institutions financières privées doivent recadrer leur approche sur la gestion des risques liés aux actifs échoués. L’approche actuelle, qui consiste à quantifier l’exposition au secteur des combustibles fossiles dans un cadre limité de portefeuilles financiers (principalement des prêts), sous-estime largement les pertes potentielles liées à l’échouage (lorsqu’un actif devient “échoué”, c’est-à-dire subit une dépréciation forte, inattendue). Étant donné que la transition vers une économie à faibles émissions de carbone a des répercussions sur tous les secteurs économiques, les institutions financières privées doivent prendre en compte les risques d’échouage liés à la transition dans leur cadre global de gestion des risques liés à la transition, en adoptant une approche « globale de l’économie ». Les approches traditionnelles de gestion des risques sont mal adaptées aux défis méthodologiques et de quantification des risques d’échouage liés à la transition, de sorte qu’une approche flexible, dynamique et prospective est nécessaire.

  • 28/06/2024
    Législatives : deux voies pour le climat

    La transition vers une France décarbonée n’est pas un chemin facile, et requiert des ménages une implication et des investissements à court terme. Cela peut nourrir un rejet de ces politiques. Face à la difficulté, faut-il faire machine arrière ou chercher une voie de passage suscitant une plus large adhésion ? Pour Benoît Leguet d’[i4ce], c’est ce qui se joue dans la campagne pour les élections législatives, avec des partis qui font des propositions pour aider les classes moyennes et populaires à faire la transition, et d’autres qui sont tentés, en l’assumant ou non, de rejeter toute politique associée de près ou de loin au climat. Disons-le d’emblée : la deuxième voie est une impasse, dans laquelle les partis ne doivent pas s’engager.

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