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I4CE partenaire du rendez-vous sur les marchés de l’énergie de Capgemini

Capgemini

L’Observatoire Européen des Marchés de l’Energie est une publication annuelle de Capgemini qui a pour vocation de suivre les principaux indicateurs des marchés de l’électricité et du gaz en Europe et de témoigner des évolutions et des transformations de ces secteurs. Nous serons heureux de vous faire découvrir la 17ème édition et ses conclusions lors d’une conférence-cocktail le 5 novembre 2015. Inscrivez-vous maintenant gratuitement à la présentation

Les transitions énergétiques s’opèrent en Europe et elles impliquent un changement profond des modèles d’affaire des Utilities. Les marchés de gros de l’électricité et du gaz restent très perturbés dans un contexte de baisse spectaculaire des prix du pétrole. Cet environnement dégradé se reflète dans les performances financiéres des Utilities.

Dans ce double contexte de transition énergétique et d’amélioration nécessaire de la performance opérationnelle, il est urgent que les Utilities mettent pleinement et rapidement œuvre leur transformation digitale. La COP21 va se dérouler dans un contexte de prix bas des hydrocarbures peu favorable. L’Europe est le « bon élève de la classe », mais une mise en cohérence des différentes mesures de diminution des émissions de gaz à effet de serre est nécessaire car elles génèrent des coûts très différents. Quelque soit le succès de la conférence, il est peu vraisemblable qu’elle conduise à des mesures suffisamment fortes et rapides pour limiter l’augmentation de la température de la planète à 2°C. Il faut donc mettre en place des actions limitant les effets du réchauffement climatique

05 nov 2015

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Pour aller plus loin
  • 02/07/2024
    État des lieux des progrès de l’Union européenne vers la neutralité climat

    Évaluer l’état d’avancement des travaux pour éclairer les prochaines étapes de l’élaboration des politiques publiques européennes. L’Union européenne (UE) s’est engagée sur la voie de la neutralité climat d’ici à 2050. Ce projet multigénérationnel offre de nombreuses opportunités sociétales, économiques et environnementales. En même temps, il est d’une ampleur sans précédent et implique des changements considérables dans les systèmes actuels, qui doivent être anticipés et pris en compte pour que la transition soit équitable et acceptable pour tous. Un contrôle régulier des progrès accomplis est essentiel pour comprendre où en est l’UE dans son parcours. Il permet d’identifier les défis et les opportunités et de prendre des mesures politiques ciblées pour orienter les investissements, l’offre, la consommation et le développement sociétal. Il n’existe toujours pas de suivi officiel, complet et régulier des progrès à l’échelle de l’UE pour y parvenir.

  • 28/06/2024
    Des actifs échoués aux actifs à risque : repenser l’approche des institutions financières privées européennes

    Les institutions financières privées doivent recadrer leur approche sur la gestion des risques liés aux actifs échoués. L’approche actuelle, qui consiste à quantifier l’exposition au secteur des combustibles fossiles dans un cadre limité de portefeuilles financiers (principalement des prêts), sous-estime largement les pertes potentielles liées à l’échouage (lorsqu’un actif devient “échoué”, c’est-à-dire subit une dépréciation forte, inattendue). Étant donné que la transition vers une économie à faibles émissions de carbone a des répercussions sur tous les secteurs économiques, les institutions financières privées doivent prendre en compte les risques d’échouage liés à la transition dans leur cadre global de gestion des risques liés à la transition, en adoptant une approche « globale de l’économie ». Les approches traditionnelles de gestion des risques sont mal adaptées aux défis méthodologiques et de quantification des risques d’échouage liés à la transition, de sorte qu’une approche flexible, dynamique et prospective est nécessaire.

  • 28/06/2024
    Législatives : deux voies pour le climat

    La transition vers une France décarbonée n’est pas un chemin facile, et requiert des ménages une implication et des investissements à court terme. Cela peut nourrir un rejet de ces politiques. Face à la difficulté, faut-il faire machine arrière ou chercher une voie de passage suscitant une plus large adhésion ? Pour Benoît Leguet d’[i4ce], c’est ce qui se joue dans la campagne pour les élections législatives, avec des partis qui font des propositions pour aider les classes moyennes et populaires à faire la transition, et d’autres qui sont tentés, en l’assumant ou non, de rejeter toute politique associée de près ou de loin au climat. Disons-le d’emblée : la deuxième voie est une impasse, dans laquelle les partis ne doivent pas s’engager.

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