#30minsur : Bonus-malus automobile : la nécessaire évaluation

Webinaires - Par : Dr. Louise KESSLER

 

 

Alors que les objectifs européens et nationaux impliquent une baisse drastique des émissions du parc de véhicules neufs d’ici 2030, il est difficile de savoir si les politiques publiques actuellement en vigueur sont à la hauteur de cette ambition. C’est en particulier le cas du bonus-malus, dont le barème n’est soumis à aucune évaluation ex ante de ses effets.

 

I4CE a eu le plaisir de vous convier à un webinaire très court pour échanger sur sa dernière étude sur l’évaluation climat du bonus-malus. Les auteurs vous ont présenté l’outil d’évaluation qu’ils ont développé et les conclusions qu’ils en ont tiré sur la cohérence du barème actuel avec la stratégie nationale bas-carbone. Jean-Philippe Hermine, Expert Senior Mobilité à l‘IDDRI s’est joint à eux pour échanger sur l’évaluation des politiques publiques en matière de mobilité.

 

Nos intervenants ont également répondu aux questions que vous leurs avez posé dans le tchat. 

 

Ce webinaire s’adressait à tous et pas seulement aux personnes déjà expertes de l’économie et du climat.

 

Intervenant.es :

 

19 oct 2021

#30minsur : Bonus-malus automobile : la nécessaire évaluation

Contacts I4CE
Dr. Louise KESSLER
Dr. Louise KESSLER
Directrice de programme – Outils de pilotage, Financement de la transition Email
Pour aller plus loin
  • 02/07/2024
    État des lieux des progrès de l’Union européenne vers la neutralité climat

    Évaluer l’état d’avancement des travaux pour éclairer les prochaines étapes de l’élaboration des politiques publiques européennes. L’Union européenne (UE) s’est engagée sur la voie de la neutralité climat d’ici à 2050. Ce projet multigénérationnel offre de nombreuses opportunités sociétales, économiques et environnementales. En même temps, il est d’une ampleur sans précédent et implique des changements considérables dans les systèmes actuels, qui doivent être anticipés et pris en compte pour que la transition soit équitable et acceptable pour tous. Un contrôle régulier des progrès accomplis est essentiel pour comprendre où en est l’UE dans son parcours. Il permet d’identifier les défis et les opportunités et de prendre des mesures politiques ciblées pour orienter les investissements, l’offre, la consommation et le développement sociétal. Il n’existe toujours pas de suivi officiel, complet et régulier des progrès à l’échelle de l’UE pour y parvenir.

  • 28/06/2024
    Des actifs échoués aux actifs à risque : repenser l’approche des institutions financières privées européennes

    Les institutions financières privées doivent recadrer leur approche sur la gestion des risques liés aux actifs échoués. L’approche actuelle, qui consiste à quantifier l’exposition au secteur des combustibles fossiles dans un cadre limité de portefeuilles financiers (principalement des prêts), sous-estime largement les pertes potentielles liées à l’échouage (lorsqu’un actif devient “échoué”, c’est-à-dire subit une dépréciation forte, inattendue). Étant donné que la transition vers une économie à faibles émissions de carbone a des répercussions sur tous les secteurs économiques, les institutions financières privées doivent prendre en compte les risques d’échouage liés à la transition dans leur cadre global de gestion des risques liés à la transition, en adoptant une approche « globale de l’économie ». Les approches traditionnelles de gestion des risques sont mal adaptées aux défis méthodologiques et de quantification des risques d’échouage liés à la transition, de sorte qu’une approche flexible, dynamique et prospective est nécessaire.

  • 28/06/2024
    Législatives : deux voies pour le climat

    La transition vers une France décarbonée n’est pas un chemin facile, et requiert des ménages une implication et des investissements à court terme. Cela peut nourrir un rejet de ces politiques. Face à la difficulté, faut-il faire machine arrière ou chercher une voie de passage suscitant une plus large adhésion ? Pour Benoît Leguet d’[i4ce], c’est ce qui se joue dans la campagne pour les élections législatives, avec des partis qui font des propositions pour aider les classes moyennes et populaires à faire la transition, et d’autres qui sont tentés, en l’assumant ou non, de rejeter toute politique associée de près ou de loin au climat. Disons-le d’emblée : la deuxième voie est une impasse, dans laquelle les partis ne doivent pas s’engager.

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