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Le G20, acteur d’une transformation social-écologique?

 

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 La Heinrich-Böll-Stiftung France
et
I4CE – Institute for Climate Economics

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Le G20, acteur d’une transformation social-écologique?

 

Table ronde:

Modération: Anna Créti, Professeur d’économie à Paris Dauphine
 

  • Barbara Unmüßig, Présidente de La Fondation Heinrich-Böll
  • Pierre Ducret, Président d’I4CE – Institute for Climate Economics
  • Célia Gautier, Responsable des Politiques européennes et internationales pour Réseau Action Climat France
  • Guido Schmidt-Traub, Directeur exécutif du UN Sustainable Development Solutions Network.

Lundi 15 mai 
de 11h00 à 12h30

La conférence sera suivie d’un cocktail déjeunatoire

Place du Maréchal de Lattre de Tassigny, 75016 Paris
Dans les locaux de Dauphine – Salle Raymond Aron

dauphine

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Inscription gratuite, mais obligatoire

La régulation de la mondialisation est un enjeu majeur des élections présidentielles en France. Le G20 de début juillet à Hambourg sera, pour la nouvelle présidence francaise, un premier défi. L’accord de Paris sur le climat ainsi que le libre-échange sont remis en question par l’administration Trump. Dans le même temps, l’Allemagne préside cette année le G20, et cela pourrait constituer une occasion pour une initiative franco-allemande et européenne en faveur d’une mondialisation plus juste et plus durable, pour faire avancer la transformation social-écologique au sein et avec les pays du G20.
Une institution comme le G20 peut justement permettre de réguler le libre-échange de tel sorte qu’il n’avantage pas seulement les grandes entreprises et capitaux, mais qu’il puisse permettre au contraire un développement durable et équitable à travers le monde.
Une question telle que la lutte contre le réchauffement climatique ne saurait se passer d’une coopération entre les pays du G20.
Une telle coopération serait-elle envisageable, et sous quelles conditions dans le contexte actuel ?

15 mai 2017

Le G20, acteur d’une transformation social-écologique?

Pour aller plus loin
  • 02/07/2024
    État des lieux des progrès de l’Union européenne vers la neutralité climat

    Évaluer l’état d’avancement des travaux pour éclairer les prochaines étapes de l’élaboration des politiques publiques européennes. L’Union européenne (UE) s’est engagée sur la voie de la neutralité climat d’ici à 2050. Ce projet multigénérationnel offre de nombreuses opportunités sociétales, économiques et environnementales. En même temps, il est d’une ampleur sans précédent et implique des changements considérables dans les systèmes actuels, qui doivent être anticipés et pris en compte pour que la transition soit équitable et acceptable pour tous. Un contrôle régulier des progrès accomplis est essentiel pour comprendre où en est l’UE dans son parcours. Il permet d’identifier les défis et les opportunités et de prendre des mesures politiques ciblées pour orienter les investissements, l’offre, la consommation et le développement sociétal. Il n’existe toujours pas de suivi officiel, complet et régulier des progrès à l’échelle de l’UE pour y parvenir.

  • 28/06/2024
    Des actifs échoués aux actifs à risque : repenser l’approche des institutions financières privées européennes

    Les institutions financières privées doivent recadrer leur approche sur la gestion des risques liés aux actifs échoués. L’approche actuelle, qui consiste à quantifier l’exposition au secteur des combustibles fossiles dans un cadre limité de portefeuilles financiers (principalement des prêts), sous-estime largement les pertes potentielles liées à l’échouage (lorsqu’un actif devient “échoué”, c’est-à-dire subit une dépréciation forte, inattendue). Étant donné que la transition vers une économie à faibles émissions de carbone a des répercussions sur tous les secteurs économiques, les institutions financières privées doivent prendre en compte les risques d’échouage liés à la transition dans leur cadre global de gestion des risques liés à la transition, en adoptant une approche « globale de l’économie ». Les approches traditionnelles de gestion des risques sont mal adaptées aux défis méthodologiques et de quantification des risques d’échouage liés à la transition, de sorte qu’une approche flexible, dynamique et prospective est nécessaire.

  • 28/06/2024
    Législatives : deux voies pour le climat

    La transition vers une France décarbonée n’est pas un chemin facile, et requiert des ménages une implication et des investissements à court terme. Cela peut nourrir un rejet de ces politiques. Face à la difficulté, faut-il faire machine arrière ou chercher une voie de passage suscitant une plus large adhésion ? Pour Benoît Leguet d’[i4ce], c’est ce qui se joue dans la campagne pour les élections législatives, avec des partis qui font des propositions pour aider les classes moyennes et populaires à faire la transition, et d’autres qui sont tentés, en l’assumant ou non, de rejeter toute politique associée de près ou de loin au climat. Disons-le d’emblée : la deuxième voie est une impasse, dans laquelle les partis ne doivent pas s’engager.

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Contact Presse Amélie FRITZ Responsable communication et relations presse Email
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